Tiova Inhaler : Contrôle Supérieur de la BPCO au Quotidien
Tiova Inhaler
| Dosage du produit : 200 MD | |||
|---|---|---|---|
| Pack (nbre) | Par inhaler | Prix | Acheter |
| 6 | €10.89 | €65.36 (0%) | 🛒 Ajouter au panier |
| 10 | €8.17
Meilleur par inhaler | €108.93 €81.70 (25%) | 🛒 Ajouter au panier |
Le Tiova Inhaler est un dispositif médical de précision contenant du bromure de tiotropium, un bronchodilatateur anticholinergique à action prolongée. Il est indiqué pour le traitement d’entretien de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), incluant la bronchite chronique et l’emphysème. Son mécanisme d’action repose sur la relaxation des muscles lisses des voies aériennes, procurant un soulagement durable des symptômes et une amélioration significative de la fonction pulmonaire. Son utilisation régulière réduit la fréquence des exacerbations et améliore la qualité de vie des patients.
Caractéristiques
- Principe actif : Bromure de tiotropium (18 mcg par inhalation)
- Type de dispositif : Inhalateur de poudre sèche (DPI)
- Nombre de doses par cartouche : 30 inhalations
- Mécanisme pharmacologique : Antagoniste muscarinique à longue durée d’action (LAMA)
- Délai d’action : Amélioration observable dans l’heure qui suit l’inhalation
- Durée d’action : Jusqu’à 24 heures, permettant une posologie unique quotidienne
- Conforme aux normes BPF (Bonnes Pratiques de Fabrication)
Avantages
- Améliore durablement la fonction pulmonaire (VEMS et CVF) en prévenant le bronchospasme.
- Réduit la dyspnée (essoufflement) et la fréquence des exacerbations de BPCO.
- Facilite les activités quotidiennes et améliore la tolérance à l’effort.
- Posologie simple d’une inhalation par jour, favorisant l’observance thérapeutique.
- Conçu pour délivrer une dose précise et reproductible de médicament directement aux poumons.
- Contribue à une meilleure qualité de vie globale en maintenant le contrôle des symptômes.
Utilisation courante
Le Tiova Inhaler est prescrit pour le traitement d’entretien quotidien et chronique de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Il n’est pas indiqué pour le soulagement immédiat des crises d’asthme ou des exacerbations aiguës de BPCO (pour lesquelles un bronchodilatateur à action rapide, comme le salbutamol, est nécessaire). Son utilisation est destinée à contrôler les symptômes sur le long terme, à prévenir leur aggravation et à réduire le risque de futures poussées.
Posologie et mode d’emploi
La posologie standard est d’une inhalation, une fois par jour, à la même heure chaque jour. Il est crucial de ne pas dépasser la dose prescrite. Instructions d’utilisation détaillées :
- Retirez le capuchon protecteur de l’inhalateur.
- Tenez l’inhalateur à la verticale et chargez une dose en poussant complètement le chargeur jusqu’à ce que vous entendiez un “clic”.
- Expirez lentement et complètement, loin de l’embout buccal. Ne soufflez jamais dans l’appareil.
- Placez l’embout buccal entre vos lèvres et fermez-les bien autour.
- Inspirez rapidement et profondément par la bouche pour entraîner la poudre dans vos poumons.
- Retirez l’inhalateur de votre bouche et retenez votre respiration pendant 10 secondes, ou aussi longtemps que confortablement possible.
- Expirez lentement.
- Refermez le capuchon pour protéger l’appareil.
- Rincez-vous la bouche avec de l’eau après chaque utilisation pour minimiser le risque d’effets secondaires oropharyngés (sécheresse buccale, candidose).
Précautions
- Informez votre médecin de tout antécédent de glaucome, d’adénome prostatique, d’obstruction cervicale vésicale, ou de problèmes rénaux.
- Ce médicament peut provoquer une vision floue ou un glaucoma par fermeture de l’angle. Soyez prudent si vous conduisez ou utilisez des machines.
- Des réactions paradoxales de bronchospasme peuvent survenir immédiatement après l’inhalation. Cessez l’utilisation et consultez immédiatement un médecin si cela se produit.
- L’inhalation de poudre de lactose (excipient) peut provoquer des réactions chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose-galactose.
- Utilisez avec prudence chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine ≤ 50 mL/min).
Contre-indications
L’utilisation du Tiova Inhaler est formellement contre-indiquée dans les cas suivants :
- Hypersensibilité connue au bromure de tiotropium, à l’atropine ou à ses dérivés, ou à l’un des excipients (ex. : lactose monohydraté).
- Patients présentant un historique d’hypersensibilité immédiate (anaphylaxie) à des produits similaires.
Effets secondaires possibles
Comme tout médicament, le Tiova Inhaler peut provoquer des effets indésirables, bien que tout le monde n’y soit pas sujet. Très fréquents (≥ 1/10) :
- Sécheresse de la bouche Fréquents (≥ 1/100 à < 1/10) :
- Céphalées (maux de tête)
- Infections des voies respiratoires supérieures
- Toux, irritation pharyngée
- Constipation, dyspepsie
- Augmentation du rythme cardiaque (tachycardie)
- Vision trouble, difficultés d’accommodation Occasionnels (≥ 1/1000 à < 1/100) :
- Rétention urinaire (particulièrement chez les hommes avec hyperplasie bénigne de la prostate)
- Palpitations
- Sécheresse de la peau, éruption cutanée
- Dysphonie (enrouement)
- Candidose oropharyngée (muguet) Rares (≥ 1/10 000 à < 1/1000) :
- Réactions d’hypersensibilité (éruption, démangeaisons, angio-œdème)
- Glaucome par fermeture de l’angle
- Atteinte rénale
Interactions médicamenteuses
- L’administration concomitante d’autres anticholinergiques (par exemple, l’ipratropium, l’atropine) peut potentialiser les effets anticholinergiques et augmenter le risque d’effets secondaires (sécheresse buccale, constipation, rétention urinaire, vision floue). Une surveillance étroite est recommandée.
- Bien qu’une interaction pharmacocinétique directe soit peu probable, l’utilisation avec d’autres bronchodilatateurs (bêta-2 agonistes comme le salbutamol) est courante et fait partie des stratégies thérapeutiques de la BPCO. Cette association doit être supervisée par un médecin.
Dose oubliée
Si vous oubliez une dose, prenez-la dès que vous vous en souvenez, sauf s’il est presque l’heure de la dose suivante. Dans ce cas, sautez la dose oubliée et reprenez le schéma posologique habituel. Ne doublez jamais la dose pour compenser une dose oubliée.
Surdosage
Un surdosage aigu par inhalation est peu probable en raison de la conception du dispositif. Cependant, une surdose se manifesterait très probablement par une exacerbation des effets anticholinergiques : sécheresse buccale prononcée, troubles de l’accommodation visuelle (vision floue, mydriase), tachycardie, troubles de la motilité gastro-intestinale (constipation sévère), rétention urinaire, et agitation. Il n’existe pas d’antidote spécifique. En cas de suspicion de surdosage, un traitement symptomatique et de support doit être instauré. Consultez immédiatement un médecin.
Conservation
- Conservez l’inhalateur à température ambiante (en dessous de 25°C), à l’abri de l’humidité et de la lumière directe du soleil.
- Gardez le dispositif dans son emballage d’origine, avec le capuchon bien fermé, pour le protéger de l’humidité.
- Ne percez pas et ne brûlez pas la cartouche, même lorsqu’elle est vide.
- Tenir hors de la portée et de la vue des enfants.
Avertissement
Ce document est une fiche informative et ne remplace en aucun cas l’avis, le diagnostic ou les prescriptions d’un professionnel de santé qualifié. Consultez toujours votre médecin ou votre pharmacien pour toute question relative à votre état de santé ou à votre traitement. N’interrompez pas et ne modifiez pas votre traitement sans l’avis de votre médecin. L’utilisation de ce médicament doit être basée sur une évaluation du rapport bénéfice/risque par un praticien.
Avis
- “Le Tiova a changé ma vie avec ma BPCO. Ma respiration est bien plus stable, je tousse moins et je peux de nouveau marcher sans m’arrêter toutes les deux minutes. La prise une fois par jour est très simple à retenir.” – Pierre, 68 ans.
- “En tant que pneumologue, je le prescris régulièrement en première intention pour le contrôle de la BPCO modérée à sévère. L’amélioration du VEMS est notable et constante chez la majorité de mes patients. L’effet secondaire le plus fréquent reste la sécheresse buccale, mais il est généralement bien géré.” – Dr. Lefèvre.
- “J’ai d’abord eu quelques maux de tête et une bouche sèche, mais cela s’est estompé après une semaine. Maintenant, je le supporte très bien et je fais beaucoup moins d’exacerbations qu’avant.” – Marie, 71 ans.
- “L’appareil est facile à utiliser une fois que l’on a bien compris la manœuvre. La notice est claire. Je n’ai plus eu besoin de recourir à ma ventoline de secours aussi souvent.” – Jean, 65 ans.