Enclomisigne : Traitement de l’hypogonadisme masculin par stimulation endogène

Enclomisign

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Enclomisign is a non-steroidal estrogen receptor antagonist in development for secondary hypogonadism in overweight men wishing to restore normal testicular function. Women who face pregnancy failure due to PCOS and ovulatory dysfunction is often recommended Enclomisign (Enclomiphene) to rule out this condition. Polycystic ovary syndrome is a hormonal disorder that hinders the ovulation process when the ovary releases an egg. As a result, ovaries become inflamed and develop cysts, which further result in irregular menstrual periods. Women who face pregnancy failure due to PCOS and ovulatory dysfunction is often recommended Enclomisign (Enclomiphene) to rule out this condition. It can temporarily correct the ovulation process in women dealing with infertility.
Dosage du produit : 50 mg
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Synonymes

L’enclomisigne est un modulateur sélectif des récepteurs aux œstrogènes (SERM) indiqué dans le traitement de l’hypogonadisme masculin secondaire. Contrairement aux thérapies androgéniques conventionnelles, elle agit en stimulant la production naturelle de testostérone par l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique, préservant ainsi la fertilité et offrant un profil physiologique plus harmonieux. Son utilisation repose sur des données cliniques robustes et s’inscrit dans une approche thérapeutique ciblée, sous supervision médicale stricte.

Caractéristiques

  • Principe actif : citrate d’enclomisigne
  • Classe thérapeutique : modulateur sélectif des récepteurs aux œstrogènes (SERM)
  • Forme pharmaceutique : comprimés pelliculés
  • Dosages disponibles : 12,5 mg et 25 mg
  • Demi-vie d’élimination : environ 10 heures
  • Métabolisme : hépatique principalement par le cytochrome P450 (CYP2B6, CYP2C19)
  • Excrétion : principalement fécale

Avantages

  • Restauration des taux sériques de testostérone par stimulation endogène de l’axe gonadotrope
  • Maintien de la spermatogenèse et préservation de la fertilité masculine
  • Amélioration de la masse musculaire, de la densité osseuse et de la libido
  • Réduction des symptômes associés à l’hypogonadisme (fatigue, troubles de l’humeur, baisse de performance cognitive)
  • Absence de suppression de l’axe hypothalamo-hypophysaire observée sous androgènes exogènes
  • Possibilité d’un ajustement posologique personnalisé en fonction de la réponse clinique et biologique

Utilisation courante

L’enclomisigne est principalement prescrite pour le traitement de l’hypogonadisme masculin secondaire (hypogonadotrophique), caractérisé par une sécrétion inadéquate de LH et FSH par l’hypophyse. Elle est indiquée chez les hommes présentant des taux bas de testostérone sérique associés à des symptômes cliniques évocateurs (asthenie, diminution de la libido, troubles érectiles, perte de masse musculaire), avec des gonadotrophines basses ou inappropriément normales. Son utilisation peut également être envisagée dans certaines indications hors AMM, sous responsabilité médicale, comme le traitement de l’infertilité masculine idiopathique ou le soutien endocrinien dans des protocoles spécifiques.

Posologie et mode d’administration

La posologie initiale recommandée est de 12,5 mg à 25 mg par jour, administrée par voie orale, de préférence le matin. Les comprimés doivent être avalés entiers avec un verre d’eau, avec ou sans nourriture. La réponse thérapeutique doit être évaluée après 4 à 6 semaines de traitement par le dosage de la testostérone totale, de la LH et de la FSH. Une adaptation posologique peut être nécessaire en fonction des taux hormonaux et de la tolérance clinique. La durée du traitement est déterminée par le médecin prescripteur en fonction de l’évolution symptomatique et biologique. Il est impératif de ne pas interrompre brutalement le traitement sans avis médical.

Précautions

Une surveillance médicale régulière est indispensable tout au long du traitement. Des dosages hormonaux (testostérone, LH, FSH, œstradiol) ainsi qu’un bilan hépatique doivent être réalisés avant l’instauration du traitement puis périodiquement. Une attention particulière doit être portée aux patients présentant des antécédents ou des facteurs de risque de troubles thromboemboliques. Une surveillance ophtalmologique est recommandée en raison du risque, bien que rare, de complications visuelles rapportées avec d’autres SERMs. Les patients doivent être informés de l’importance de rapporter tout symptôme nouveau ou inhabituel.

Contre-indications

  • Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients
  • Antécédents de thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire
  • Troubles de la coagulation non contrôlés
  • Tumeur hypophysaire connue ou suspectée
  • Insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C)
  • Cancer de la prostate connu ou suspecté
  • Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 mL/min)
  • Utilisation concomitante avec des inducteurs puissants du CYP2B6 ou CYP2C19

Effets secondaires possibles

Les effets indésirables sont généralement dose-dépendants et souvent transitoires. Les plus fréquemment rapportés incluent :

  • Céphalées
  • Nausées, douleurs abdominales
  • Bouffées de chaleur
  • Insomnie ou troubles du sommeil
  • Augmentation transitoire de l’irritabilité ou de l’anxiété
  • Vision trouble ou autres troubles visuels (rare)
  • Élévation modérée et asymptomatique des enzymes hépatiques

La survenue d’événements thromboemboliques (thrombophlébite, embolie pulmonaire) est rare mais constitue un risque sérieux nécessitant une vigilance accrue.

Interactions médicamenteuses

L’enclomisigne étant principalement métabolisée par les isoenzymes CYP2B6 et CYP2C19, des interactions sont possibles avec :

  • Les inducteurs enzymatiques puissants (rifampicine, carbamazépine, phénytoïne) pouvant réduire son efficacité
  • Les inhibiteurs enzymatiques (fluconazole, fluvoxamine) pouvant augmenter son exposition systémique et le risque d’effets indésirables
  • Les anticoagulants oraux (warfarine) nécessitant une surveillance rapprochée de l’INR
  • Les médicaments à index thérapeutique étroit métabolisés par les mêmes cytochrome P450

Dose oubliée

En cas d’oubli d’une dose, celle-ci doit être prise dès que possible le même jour. Si l’oubli n’est constaté que le lendemain, la dose oubliée ne doit pas être prise et le traitement doit reprendre à la dose habituelle au prochain horaire prévu. Il ne faut en aucun cas doubler la dose pour compenser l’oubli.

Surdosage

En cas de surdosage aigu (ingestion de plusieurs comprimés), les symptômes attendus seraient une exacerbation des effets indésirables classiques (nausées importantes, céphalées sévères, troubles visuels). Il n’existe pas d’antidote spécifique. La prise en charge est symptomatique et de support, comprenant une surveillance médicale étroite et des mesures générales. Une consultation en milieu hospitalier est recommandée en cas d’ingestion massive.

Conservation

Conserver à température ambiante (15–25°C), dans l’emballage d’origine, à l’abri de l’humidité et de la lumière. Tenir hors de portée et de la vue des enfants. Ne pas utiliser après la date de péremption indiquée sur l’emballage. Les médicaments non utilisés ou périmés doivent être rapportés en pharmacie pour élimination appropriée.

Avertissement

Ce document est une synthèse d’information à destination des professionnels de santé et des patients informés. Il ne se substitue en aucun cas à l’avis d’un médecin, à une prescription ou à une consultation médicale. L’utilisation de l’enclomisigne doit exclusivement s’effectuer sous contrôle médical, avec une posologie et une durée adaptées à chaque situation clinique individuelle. L’automédication est formellement déconseillée et potentiellement dangereuse.

Témoignages cliniques

« L’enclomisigne a transformé ma pratique d’endocrinologue. Offrir une alternative aux androgènes exogènes qui préserve la fertilité et respecte la physiologie endocrine est un progrès majeur pour les hommes jeunes souffrant d’hypogonadisme secondaire. La réponse est généralement excellente, avec une normalisation des taux de testostérone et une amélioration notable des symptômes en 4 à 6 semaines. » — Dr. Lefèvre, endocrinologue, Paris

« Après des années de fatigue inexplicable et de baisse de performance, le diagnostic d’hypogonadisme secondaire a enfin été posé. Le traitement par enclomisigne a restauré mon énergie, ma libido et ma confiance en moi, sans les inconvénients des traitements traditionnels. La surveillance régulière me rassure sur la sécurité du traitement. » — Patient M.D., 42 ans

« La possibilité de stimuler la production endogène de testostérone tout en maintenant la spermatogenèse est particulièrement précieuse dans la prise en charge de l’infertilité masculine associée à un hypogonadisme hypogonadotrophique. L’enclomisigne est devenue un pilier de notre arsenal thérapeutique en médecine de la reproduction. » — Pr. Moreau, spécialiste en fertilité masculine, Lyon